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Monday 25 January 2016

L’ALCOOL

Introduction
Une boisson alcoolisée, est une boisson (fermentée, macérée, distillée ou autre) contenant de l'éthanol). La consommation d'alcool présente de nombreux risques pour la santé. Pour ces raisons, la plupart des pays possèdent une législation qui règlemente la production, la vente et la consommation de ces boissons.

Histoire
La découverte de l’alcool date sûrement du Néolithique, au hasard d’une fermentation naturelle de produits alimentaires. L’alcool a toujours été présent dans la littérature, dans la vie sociale des hommes. L'alcool a un usage sacré et conduit à l'extase mystique. « La coupe » contenant de l'alcool est censée renfermer la divinité. Dans l’Antiquité le culte de Dionysos/Bacchus est répandu en Grèce et à Rome.

Chimie
En chimie, le terme alcool désigne l'ensemble des composés organiques dans lesquels un groupe hydroxyle (-OH) est lié à un atome de carbone, qui à son tour est relié à d'autres atomes de carbone ou d'hydrogène.
L'alcool éthylique ou éthanol (CH3CH2OH) que l'on boit, est un liquide transparent et incolore ; il est presque toujours produit par fermentation alcoolique - la voie métabolique des glucides de certaines espèces de levures en l'absence d'oxygène.
Les boissons alcoolisées avec une concentration supérieure à 40 % du volume sont facilement inflammables.
Fabrication
C'est la fermentation des sucres (glucose et fructose) contenus dans les fruits, les grains ou les racines (betterave) qui produit l'alcool. La boisson ainsi obtenue peut être distillée pour donner une eau-de-vie ou autre spiritueux.
Réglementation dans le monde
La conduite de véhicules sous l'emprise d'un état alcoolique est une infraction dans de nombreux pays.
  Santé
Bien qu'étant un dépresseur, l'alcool présente en fait un large spectre d'effets contradictoires. Il déprime ou stimule, tranquillise ou excite. Autrefois, l'alcool était utilisé en médecine pour soulager la douleur, faire tomber la fièvre ou apaiser les crampes d'estomac.
Au niveau mondial, l’alcool est considéré comme la troisième cause de morbidité, après l’hypertension artérielle et le tabac. En Europe occidentale, il est le quatrième facteur de risque, après le surpoids.
Physiologie
Circuit dans l'organisme :
L’alcool ingurgité arrive dans l’estomac avant de migrer vers le petit intestin. Après environ une demi-heure (variant si le consommateur est à jeun car la présence d’aliments retarde le passage de l’alcool de l’estomac à l’intestin) l’alcool passe directement dans le sang. Il rejoint ensuite tous les organes et en particulier le cerveau et le foie. Ensuite, l’alcool non métabolisé par le foie le quitte pour aller vers le cœur.
Pour le bon fonctionnement du neurone et sa survie, il a besoin de vitamines B1 et PP.Or, l’alcoolisation chronique entraîne des carences dans ces deux vitamines.
La vitamine B1 régule les glucides (source d’énergie) dans le neurone. La vitamine PP intervient dans la respiration cellulaire. 
Leur absence ou carence provoque une dégénérescence du neurone qui va finir par être détruit.

Cette atteinte cérébrale est irréversible. Les capacités intellectuelles sont définitivement amoindries.
Les jeunes adolescents sont encore bien plus exposés, car les dégâts occasionnés par des alcoolisations trop massives vont significativement perturber la croissance et le développement de leur cerveau.
Le GABA permet de diminuer l’activité neuronale en permettant aux ions chlore (Cl-) de pénétrer à l’intérieur du neurone post-synaptique. Le chlore, qui porte une charge électrique négative, contribue à rendre le neurone moins excitable. Cet effet sera amplifié par la fixation d’alcool sur le récepteur, pour que le canal ionique reste ouvert plus longtemps et de faire ainsi entrer plus de Cl- dans la cellule.


Effets à court terme :
Les effets durent environ un jour. L'alcool est un dépresseur et agit principalement sur le jugement mais aussi sur les fonctions motrices. Les premiers effets peuvent apparaître en moins de 5 minutes. Si la dose ingérée est élevée, le sujet peut perdre conscience, entrer dans le coma et décéder.
  • Problèmes d’élocution
  • Somnolence
  • Vomissements 
  • Maux d’estomac
  • Maux de tête
  • Difficultés respiratoires 
  • Vision et ouïe déformées 
  • Jugement altéré 
  • Perception et coordination diminuées 
  • Inconscience 
  • Anémie (perte de globules rouges)
  • Coma
  • Trous de mémoire, où la personne ne peut pas se rappeler les événements qui se sont produits pendant qu’elle était sous l’influence de l’alcool
Effets à long terme :
  • Intoxication éthylique
  • Hypertension, crise cardiaque et autres maladies de cœur
  • Dommages permanents au cerveau 
  • Carence en vitamine B1, qui peut mener à des troubles caractérisés par l’amnésie, l’apathie et la désorientation 
  • Ulcères 
  • Gastrites (inflammation des parois de l’estomac) 
  • Malnutrition 
  • Cancer de la bouche et de la gorge


Le foie est l’organe qui épure l’alcool du corps. Il est donc principalement touché par une alcoolisation. Il existe plusieurs maladies du foie dû à l’alcool.
La stéatose est la lésion la plus précoce du foie de l’alcoolique. Elle est constante chez le buveur excessif chronique, et ne donne aucun effet particulier.
La maladie entraîne une régression totale de la stéatose et une régénération du foie.
La stéato-nécrose est le second stade de lésion du foie. Cela peut évoluer vers une destruction du tissu hépatique si l’alcool n’est pas arrêté. Les effets sont multiples : anorexie et amaigrissement important, fatigue, vomissements, perte de masse musculaire. Le plus souvent, en moins d’un an, la non-consommation suffit à stabiliser l’état du foie, voire à obtenir une régression des lésions.
La cirrhose est caractérisée par la destruction des cellules du foie. Cette destruction est définitive et les cellules ne se régénèreront pas, elles laisseront place à un tissu fibreux non fonctionnel. La cirrhose peut ensuite dégénérer en cancer du foie. Comme tous les cancers, il est dû à une prolifération cellulaire très importante qui vont affecter le foie, puis l’organisme tout entier. Certaines de ces cellules cancéreuses sont capables d’atteindre d’autres organes et de former des métastases, qui vont les attaquer. 

En France, en 2010, 9 % de la population présenterait des risques de dépendance à l'alcool.

Anne-Sophie 

Sources :
 -Wikipedia : les boissons alcoolisées,
 -Tout sur le cerveau Mc Gill
-http://www.addictionsuisse.ch/fileadmin/user_upload/DocUpload/alcool_corps.pdf

-http://hepatoweb.com/Alcool_Partie_2.php
-http://www.alcoweb.com/alcool/fr/alcoweb/cerveau/71.html

-http://fr.drugfreeworld.org/drugfacts/alcohol/short-term-long-term-effects.html
   Un humain ordinaire ne peut pas s’isoler des stress dans sa vie quotidienne, c’est presque impossible. Certaines personnes essayent d’équilibrer leur état émotionnel en faisant du sport, en méditant, en lisant ou en pratiquant leurs hobbys. D'autres fument, consomment de l’alcool ou prennent des drogues, ce qui ne fait qu’aggraver leur état physique et mental.  
                                               



   Malheureusement, notre système nerveux n’est pas si facile à gérer et il est impossible de supprimer à jamais l’impact du stress sur notre organisme. Le système nerveux n’est pas contrôlé pas l’humain, c'est un processus biochimique qui est produit en autonomie dans notre corps lors d’un choc émotionnel. Tout d’abord le stress affecte notre cerveau, alors qu’arrive-t-il à nos cellules nerveuses lors d’un stress ? Et est-ce vrai qu’elles disparaîtront à jamais après un choc?  
   Pour répondre correctement à ces questions, il faut observer les processus biochimiques dans notre cerveau. En cas de stress, la surrénale produit des hormones correspondants – de l’adrénaline et du cortisol. En plus de ses substances, l’acide glutamique est produit dans les tissus du cerveau.  Le glutamate (autre nom pour l’acide glutamique) est responsable de l’activation des cellules nerveuses et elle les prépare pour un stress intensif – c’est une réaction typique de notre organisme.
   Mais lors d’un grand choc ou bien lors d’un stress répétitif ce fonctionnement ne peut plus être maitrisé, le processus entier "se casse", et cela conduit à la mort progressive ou bien immédiate des cellules nerveuses. Ensuite le processus est endommagé et cela crée un impact sur les cellules nerveuses. En plus, l’acide glutamique influence la capacité du cerveau de se remettre correctement d’un stress.

            
                  A gauche- cellules nerveuses d’une personne                          A droite – cellules nerveuses d’une personne
                 qui n’a pas beaucoup de stress dans la vie                            qui a des stress répétitifs.
   

Heureusement que notre organisme est si bien fait, qu’il existe un acide capable de ralentir le fonctionnement de notre système nerveux. L'acide γ-aminobutyrique ou en abrégé GABA. C’est le principal neurotransmetteur inhibiteur du système nerveux central chez les mammifères et les oiseaux. Son rôle majeur est celui de modulateur de l'appétit, du sommeil, de l'humeur et des fonctions cognitives et toutes ces fonctions peuvent facilement être perturbées pas l’anxiété. Des recherches ont montré que le GABA normalise les processus nerveux dans le cerveau, supprime l’anxiété et renforce l’action de penser. Voici un schéma qui montre l’effet inhibiteur de ce neurotransmetteur :




   Parfois il est difficile pour l’organisme d’absorber du GABA pur, alors les scientifiques ont créé un médicament à la base  de GABA et phényléthylamine. Ce tandem est parfaitement bien accepté par les cellules nerveuses et résous le problème de déficit de GABA, ainsi ce médicament enlève l’impact du stress sur l’organisme.
                                        


Maria

Sources :
http://www.youramazingbrain.org/brainchanges/stressbrain.htm











Thursday 7 January 2016

Expérience de Robber's Cave

Expérience de Robber's Cave

Introduction: Qu'est-ce qu'un comportement? Ce sont les réactions qu'on a face aux stimuli.

définition: un stimulus est une modification d'un paramètre de l'environnement ou bien intérieur à l'organisme.

Plusieurs expériences ont été menées sur le comportement pour démontrer les différences de réactions à des mêmes stimuli dans des situations différentes ou bien le processus d'acquisition de ces comportements.

Dans cet article vous allez découvrir l'expérience de Robbers Cave.

Cette expérience fut menée par le chercheur Muzafer SHERIF en 1954 dans le parc Robbers Cave à Oklahoma (E-U)

Muzafer SHERIF est un psychologue social. Il a contribué à la théorie "Realistic Conflict Theory" qui stipule que les préjudices, les stéréotypes et les conflits sont dus à la compétition de groupes pour des ressources désirées. L'expérience de Robber's Cave fut effectuée pour démontrer cette théorie.

En quoi consiste l'expérience: L'expérience vise à montrer comment l'identité de groupe se forme rapidement et comment elle pouvait mener à l'antagonisme (def: état d'opposition entre des personnes) et à la violence envers des membres ne faisant pas partie du groupe.

Déroulement de l'expérience: Deux groupes de 11 garçons de 11 ans, de classe moyenne et ayant une éducation plus ou moins similaire sont emmenés pour une longue excursion dans le parc. Ensuite l'expérience se divise en 3 phases:
 1) Formation au sein du groupe (identification au groupe): Chaque groupe n'est pas au courant qu'il y a un deuxième groupe dans le parc. Les membres de chaque groupe tissent des liens pendant une semaine puis choisissent un nom pour leur groupe.

 2) Phase de tension (faire entrer en conflit les 2 groupes): On apprend à chaque groupe l'existence de l'autre groupe. Les animateurs créent des activités concurrentielles mettant en opposition les deux groupes. Les groupes ne veulent plus manger dans la même pièce et des injures sont prononcées.

 3) Phase d’interaction (faire coopérer les deux groupes en conflit par l'accomplissement d'objectifs communs): les groupes doivent coopérer pour résoudre un problème atteignant les deux groupes. Quelqu'un a vandalisé leur ressource d'eau potable et ils doivent réparer les dommages ensemble. Ensuite ils doivent se décider sur un film à regarder et ils coopèrent. Après ça les deux groupes se décident à manger dans la même pièce.

Conclusion: Dans cette expérience on voit que l'esprit de compétition et la rivalité peu vraiment affecter notre comportement mais aussi que le fait de devoir s'associer sur quelque chose affectant les deux groupes permet aussi à des réconciliations. Cette expérience démontre notre attitude profondément grégaire (def: tendance instinctive qui pousse des individus d'une même espèce à se rassembler et à adopter un même comportement).

Ilona 

Sources:
 http://www.simplypsychology.org/robbers-cave.html
https://explorable.com/fr/robbers-cave-experiment-fr
http://www.maxisciences.com/psychologie/1-experience-de-robbers-cave_art2691.html

https://fr.wikipedia.org/wiki/Muzafer_%C5%9Eerif
Un nouveau moyen de réparer la moelle épinière ?

De nos jours, de nombreuses recherches scientifiques sont faites afin de redonner une chance aux personnes paraplégiques de retrouver l'usage de leurs membres.

Suite à un traumatisme, un choc, les nerfs dans le corps se retrouvent sectionnés dans la moelle épinières ce qui entraine une paralysie chez les personnes concernées. Cela touche plus de 40 000 personnes en France. 

Il est impossible pour les chirurgiens de réparer ces nerfs manuellement tant ils sont nombreux et petits. Beaucoup d'expériences sont faites sur les rats pour permettre aux neurones de se régénérer seuls. Certaines méthodes commencent même à être expérimentées sur des animaux plus gros ou même sur des humains. Il est cependant encore rare de pouvoir redonner aux hommes la capacité de marcher, de bouger.

Une expérience, qui conduit à un résultat intéressant, a été faite par les chercheurs du King's College de Londres.

Ils ont remarqué qu'après un accident, l'organisme fabrique du tissu cicatriciel à l'endroit de la lésion qui empêche la repousse des neurones et, par conséquent, des fibres nerveuses. Ce tissu cicatriciel libère des protéines sucrées (les glycoprotéines) qui agissent comme une colle avec les axones ce qui empêche donc la régénération de tout le système. Les chercheurs ont essayé d'utiliser sur des rats paralysés une enzyme, la chondroïtinase (ChABC) qui dégrade cette protéine en "digérant" les molécules présentes autour de la lésion. Ils ont alors remarqué que les axones se mettaient à repousser et que les rats pouvaient de nouveau marcher.

Cette expérience a cependant des défauts: l'enzyme pourrait s'avérer toxique et son action est de courte durée, il faut donc répéter régulièrement l'injection de ChABC qui est douloureuse. C'est pour cela que d'autres chercheurs anglais on essayé une thérapie génique qui permet de n'avoir qu'une seule injection à faire. Pour cela, ils ont utilisé un gène médicament grâce auquel les cellules peuvent créer une plus grande quantité d'enzyme. Les gènes médicaments sont des protéines produites à partir de bactéries: la thérapie génique consiste donc à modifier l'ADN de cellules du corps. Cette expérience permet d'éviter une inflammation  de la lésion et permet aussi aux tissus de se réparer.
La prochaine étape pour les scientifiques est de traiter de larges zones sur la moelle épinière avant de pouvoir tester cette expérience sur des humains.



Schéma explicatif du gène médicament

Hortense

SOURCE:
http://www.larecherche.fr/savoirs/sante/reparation-moelle-epiniere-01-09-2010-87340
http://www.pourquoidocteur.fr/Articles/Question-d-actu/6009-Deux-nouveaux-espoirs-pour-reparer-la-moelle-epiniere
http://www.newelly.com/ce-medicament-pourrait-regenerer-les-nerfs-de-la-moelle-epiniere-et-reparer-les-lesions/
http://www.docsciences.fr/Des-genes-medicaments.html
http://vulgariz.com/medecine-sante/genetique/therapie-genique-un-vecteur-cle-pour-traiter-certaines-maladies-vasculaires/ (image1)
http://therapie-genique-tpe2011.e-monsite.com/pages/historique/b-le-processus.html (image 2)


Sunday 8 November 2015

La Maladie d'Alzheimer 

Découverte en 1906 par le médecin allemand Alois Alzheimer, la maladie d'Alzheimer, est dite neurodégénérative, ce qui signifie la perte progressive des neurones. C'est une maladie incurable du cortex cérébral, qui entraîne la perte progressive et définitive des fonctions mentales et principalement de la mémoire. 





Le Docteur Alois Alzheimer 








Il existe différents symptômes qui caractérisent cette maladie. Le premier et plus fréquent d'entre-eux étant la perte de souvenir, l'amnésie. Il se manifeste par de fréquentes distractions qui s'étendent et s'accentuent au fil de la progression de la maladie. À un stade plus élevé, sont touchés les cortex associatifs frontaux et temporo-pariétaux, qui se traduisent par des sauts d'humeurs et troubles du comportement. La disparition des neurones s'accentue encore au fil de la progression de la maladie et qui continue jusqu'à la mort.

L'étude du cerveau des patients atteints du syndrome montre l’apparition de deux types de lésions qui signent avec certitude le diagnostic de maladie d’Alzheimer: les plaques amyloïdes et les dégénérescences neurofibrillaires. Ces deux types de lésions sont chacune associées à un composé protéique, lui-même associé à la création et l'extension de la maladie : le « peptide bêta amyloïde » pour les plaques amyloïdes, et la « protéine tau » phosphorylée pour les dégénérescences neurofibrillaires.

La phosphorylation de la « protéine tau » entraîne une désorganisation de la structure des neurones et une dégénérescence dite « neurofibrillaire » qui entraînera elle-même, à terme, la mort de la cellule nerveuse. La façon dont ces processus pathologiques s’enchaînent reste encore à découvrir.

Il est possible de diagnostiquer un individu atteint du syndrome en le soumettant à un interrogatoire, à plusieurs différents tests neuropsychologiques, et en mettant en évidence une possible atrophie corticale qui touche d'abord le lobe temporal interne, et par la suite l'hippocampe, qui fait parti de ce lobe temporal interne. Tous deux sont des régions importantes pour la mémoire.

C'est pourquoi, jusque dans les années 1960, la maladie fut sous-diagnostiquée ; car les symptômes apparaissent chez une personne atteinte seulement aux alentours de 65 ans. Et dans seulement 5 % des cas, il peut y avoir une apparition précoce. Il est fréquent que les premiers symptômes de la maladie soit confondus avec l'aspect normal de la dépression ou d'un stress excessif.

Il existe à ce jour aucun traitement permettant de ralentir la progression de la maladie et l’espérance de vie d'un individu atteint de la maladie dépend de son âge, mais varie dans la plupart des cas entre 3 à 8 ans. Il est également fréquent qu'avec l'apparition de la maladie, les personnes atteintes soit soumises à un rejet de leur cercle social proche, soit leurs amis ou bien même la famille, mais également de la société.

En 2005, la maladie touchait 26 millions de personnes dans le monde, et selon les statistiques émises, il se pourrait bien qu'en 2050, le nombre soit multiplié par 4, ce qui équivaudrait à 1 personne sur 85 dans le monde. 















Dans ces deux images du cerveaux montrent bien la dégénérescence des cellules du cerveau. On peut voir clairement une différence entre un cerveau d'un individu normal et le cerveau d'un individu atteint du syndrome. On voit que le cerveau est en quelque sorte vidé de ses cellules, d'où l'apparition de la tâche noire sur ces images. 


Alexandre Roiné

Source : http://www.francealzheimer.org/comprendre-maladie/maladie-d-alzheimer
La  Troisième Vague

            La troisième vague est une expérience sur le nazisme menée dans une école au Etats-Unis en Avril  1967. Un professeur d’histoire a alors démontré à ses élèves à quel point il est facile d’être manipulé, ou de manipuler. Le récit sur ces évènements publiés par Ron Jones, l’auteur de l’étude, a inspiré un livre et deux films (dont « La Vague »).

            L’explication qui suit est en grande partie tirée de ce que Ron Jones a lui-même écrit en 1972 et publié en 1976.

            L’expérience débute lorsque M. Jones montre un film sur le nazisme à ses élèves. Ceux-ci se posent alors la question de comment les allemands ordinaires aient pu laisser les nazis perpétrer des génocides et discriminer ainsi des minorités.

            Pour tenter de trouver une réponse il fonde « La troisième vague », un groupe qui a pour principes la discipline et la communauté. Son but est la destruction de la démocratie, qui est contraire à ces règles. Il enseigne à sa classe des bases de discipline : entrer et sortir silencieusement de la classe, une position assise rigide, exige qu’ils l’appellent « Monsieur Jones », et veut qu’ils répondent de façon courte et concise. Les élèves sont enthousiastes et motivés.

            Le cours suivant, Ron Jones explique à ses élèves les vertus de la communauté et leur enseigne un salut. Il fait des exercices pour que se élèves se sentent comme un groupe et non comme un individu : il leur fait réciter tous ensemble la devise de la troisième vague qu’il vient de créer : « La force par la discipline, la force par la communauté ».
            Mercredi, le professeur remarque que des élèves qui n’appartiennent pas à son cours sont venus. Il redit aux élèves à quel point la discipline et la communauté sont des valeurs importantes. Il distribue aléatoirement des cartes d’appartenance au groupe, dont trois sont marqués d’une croix sur le dos. Ceux-ci sont chargés de dénoncer leurs camarades qui ne respecteraient pas les principes de la troisième vague. Jones voit que ses écoliers sont plus enthousiastes  au travail, mais argumentent moins dans leurs réponses. Les élèves les moins bons répondent plus souvent, mais les bons élèves se plaignent de ne pas être aussi avantagés qu’auparavant. Il commence à leur donner des ordres directs, en les chargeant de faire une bannière, entre autre. Beaucoup d’élèves se font dénoncer par leurs camarades, alors que seulement trois étaient assignés à cette tâche. Il commence à s’inquiéter, car certains élèves qui ne participent pas au mouvement se font intimider et menacer.

            L’expérience de Ron Jones incite beaucoup d’élèves à sécher leurs cours habituels pour pouvoir assister à ses cours d’histoire. Sa salle est pleine à craquer. Une « police secrète » est instaurée par des élèves, qui intimident et dénoncent les fautifs. Le professeur d’histoire commence à prendre peur et décide d’en finir. Il annonce que la troisième vague existe aussi en dehors du lycée, et annonce aux élèves que le chef du mouvement leur parlera à midi le vendredi.
            Ayant réuni tous les suiveurs du groupe totalitaristes, il leur annonce finalement qu’ils ont été manipulés. Il leur explique l’expérience et son but. On sait très peu sur la réaction des élèves à la sortie du grand « meeting ».

            Heureusement que l’enseignant a décidé d’arrêter l’expérience là, car qui sait ce qui aurait pu se passer si les élèves avaient continué sur leur lancée ? L’expérience ne peut pas être proprement analysée car elle n’a jamais été prévue comme telle. Nous n’avons pas d’informations précises ou variées, la seule source dont nous disposons est ce que Ron Jones a lui-même écrit, et qui ne peut être considéré qu’avec un certain recul dû au préjugé évident.



Felix Dürr-Freudenthaler



La couverture du livre par Todd Strasser publié en 1981
   

                 
Le logo de la vague tel qu’il est dans le film (allemand) sorti en 2008

JONES, Ron., Take As Directed, dans le CoEvolution Quartely, en 1976
STRASSER T., La vague, (The Wave) trad. A.Carlier, s.l., Pocket, s.d..
           
Lien vers un e-book du livre que Ron Jones a écrit lui-même (les faits réels, non la version dérivée su téléfilm par Todd Strasser)


Thursday 4 December 2014

Hormonelle Veränderungen / Sarah




Hormonelle Veränderungen während der Pubertät


Hormone sind chemische Stoffe, die die Körpervorgänge steuern, wie das Wachstum, den Stoffwechsel.. Sie entstehen in den Hormondrüsen.

Die Pubertät beginnt bei den Mädchen zwischen dem zehnten und dem 13. Lebensjahr, und bei den Jungen erst zwischen dem 12. und dem 15. Lebensjahr

Wenn der Körper bereit ist, geschlechtsreif zu werden, sendet der Hypothalamus, ein Teil des Zwischenhirns, chemische Signalstoffe zur Hypophyse, die an der Unterseite der Gehirns liegt. 


Die Hirnanhangdrüse und der Hypothalamus sind durch den so genannten Hypophysenstiel verbunden, auf diese Weise erhält die Hirnanhangdrüse  genaue Informationen über die körperliche Entwicklung und produziert abhängig davon die richtige Anzahl an Hormonen. 


Die Hypophyse besteht aus drei Teilen, dem Hypophysenvorderlappen, dem Hypophysenhinterlappen und dem Hypophysenzwischenlappen.

In dem Hypophysenvorderlappen werden die folgenden Hormone produziert :

-Somatropin, was für das Körperwachstum zuständig ist. Diese Hormone werden meistens während des Schlafes produziert, und sie sind essentiell für ein normales Wachstum. 

-Follikelstimulierendes Hormon (FSH): Es bewirkt das Wachstum von Samenzellen bei Männern und der Eizellen in den Eierstöcken bei den Frauen. 

-Luteinisierendes Hormon (LH):  Es regt bei der Frau den Eisprung und beim Mann die Reifung der Spermien an.

-Östrogen: Sie sind die wichtigsten weiblichen Sexualhormone. Sie werden hauptsächlich in den Eierstöcken produziert. Sie steuern die Vorgänge des weiblichen Zyklus' und der Fortpflanzung und sorgen bei Mädchen für das Wachstum der Geschlechtsorgane und der Ausbildung der Schleimhaut. Sie sind auch dafür zuständig, dass während der Pubertät die Brüste wachsen und eine rundliche Körperform entsteht.

-Testosteron: Ist das wichtigste Sexualhormon bei den Männern. Es wird vor allem in den Hoden gebildet unter dem Einfluss von LH. Es fördert das Wachstum und die Entwicklung der Geschlechtsorgane. Es ist für die männlichen Geschlechtsmerkmale wie eine tiefe Stimme, Bartwuchs, breiten Schultern oder Muskelaufbau verantwortlich. Es wirkt auch auf den Sexualtrieb und auf die Samenproduktion.






meine Quellen: 

http://www.helles-koepfchen.de/artikel/3404.html


http://de.wikipedia.org/wiki/Pubertät